Âmes sensibles…

Publié le par Émy

Bonjour !

Cet article n’a normalement RIEN à faire dans un blog tenu par une fille…

Je sais, je suis moche, mais je vous emm...

Voici donc la résolution de la devinette posée il y a quelques jours. C’est donc bel et bien un cyber-café, mais pas seulement…
Il y a deux groupes distincts possédant ce genre de cyber-cafés ; Le groupe « Salary-Man no Mitaka Kitarō » 「サラりーマンの味方金太朗」 (Kitarô, l’ami des salary-men) et la chaîne Takarashima 「宝島」.

Comme indiqué sur les photos et en plus de cyber-café, ces enseignes offrent des services de location de DVD, de magazines et d’autres objets utiles dans ce genre de cas… Le tout dans des petites cabines équipées de TV grand écran, d’un fauteuil très confortable, d’une couchette et d’un téléphone pour appeler l’accueil en cas de problèmes.
Ces lieux ne sont pas réservés aux seuls salary-men, mais il s’adressent à tous les hommes majeurs du Japon (ou de Tokyo dumoins). Les femmes peuvent y entrer, mais à leurs risques et périls…

Pour tout dire, ces endroits sont des lieux de détente ou l’on doit trouver tout ce qui se fait en matière de pornographie. En effet, ces cyber-cafés qui n’ont l’air de rien vu de l’extérieur sont en fait des endroits où ces messieurs peuvent s’astiquer le manche en toute tranquillité et en tout anonymat devant un très large choix de médias, et pour un prix exorbitant (à mon sens) : celui où j’étais m’a coûté 1000¥ (environ 7€ en juin 2009) pour 45min (et j’y suis resté moins de 10 minutes… Euh… Je vous expliquerai…).

Bref, le principe est simple : comme dans les restaurants, vous choisissez votre menu à l’automate (DVD, Internet avec choix de la durée, etc.), et vous présentez votre ticket au caissier, bien caché derrière une vitre qui descend jusqu'aux environs de la taille et couverte d’images jusqu'au bas de celle-ci. (Le mec à la caisse était tellement surpris d’entendre une voix féminine qu’il en est sorti de sa cabine…). Le caissier vous attribue une cabine numérotée, avec l’heure d’entrée et l’heure à laquelle vous devez sortir. On vous fournit aussi un petit panier de course, comme celui des supermarchés, pour mettre ses DVD (Je crois que je n’avais jamais vu autant de DVD pornos réunis en un seul lieu de toute ma vie !…). Il est aussi possible de louer des objets, mais je vous passe les détails sur ce dont il peut s’agir…

Je précise que les cabines sont aussi équipées d’une boîte de mouchoirs…

Pas d'images de l'intérieur, faut pas pouser quand même !

Je vous explique quand même ce que je faisais dans un endroit pareil. C’était à Mitaka, j’avais rendez-vous avec un ami, et comme une c***, je n’avais pas pris le carnet sur lequel j’avais noté le lieu de rendez-vous (« J’en ai pas besoin, je le laisse » pff, co**sse !) et je n’avais bien sûr pas pris son numéro ! Mitaka étant à près de ¾ d’heures de l’hôtel Aizuya, j’ai un peu tourné en rond partout, SAUF là où il fallait aller –faut le faire– et je me suis donc retrouvé à chercher un cyber en vitesse. Arrivée devant la devanture, en me doutant de ce que j’allais trouver quand même –l’indication « cabines privées » m’a mis la puce à l’oreille bizarrement…- je décide quand même d’entrer, non sans appréhension. Je peux vous dire que jamais je ne me suis sentie aussi mal à l’aise de toute ma vie !
Résultat : une heure de retard et plus une tune ! Le pire, c’est que j’étais à la gare de Mitaka un quart d’heure avant l’heure de RDV… En plus d’avoir honte, j’ai dû lui donner une sale image de moi…
Malgré ça, je garde un souvenir amusé de cette expérience –même si ça ne m’a pas amusée sur le coup–, mais ce n’est pas pour autant que je recommencerai !


À bientôt pour d’autres mésaventures !

—| Émy |—

Bonjour !

Cet article n’a normalement RIEN à faire dans un blog tenu par une fille…

Voici donc la résolution de la devinette posée il y a quelques jours. C’est donc bel et bien un cyber-café, mais pas seulement…

Il y a deux groupes distincts possédant ce genre de cyber-cafés ; Le groupe « Salary-Man no Mitaka Kitarō » 「サラりーマンの味方金太朗」 (Kitarô, l’ami des salary-men) et la chaîne Takarashima 「宝島」.

Comme indiqué sur les photos et en plus de cyber-café, ces enseignes offrent des services de location de DVD, de magazines et d’autres objets utiles dans ce genre de cas… Le tout dans des petites cabines équipées de TV grand écran, d’un fauteil très confortable, d’une couchette et d’un téléphone pour appeler l’accueil en cas de problèmes.

Ces lieux ne sont pas réservés aux seuls salary-men, mais il s’adressent à tous les hommes majeurs du Japon, les femmes peuvent y entrer, mais à leurs risques et périls…

En fait, ces endroits sont des lieux de détente ou l’on doit trouver tout ce qui se fait en matière de pornographie. Oui, ces cyber-cafés qui n’ont l’air de rien vu de l’extérieur sont en fait des endroits où ces messieurs peuvent s’astiquer le manche en toute tranquillité et en tout anonymat devant un très large choix de médias, et pour un prix exorbitant (à mon sens) celui où j’étais m’a coûté 1000¥ (environ 7€ en juin 2009) pour 45min (et j’y suis resté moins de 10 minutes. Euh… Je vous expliquerai…).

Bref, le principe est simple : comme dans les restaurants, vous choisissez votre menu à l’automate (DVD, Internet avec choix de la durée, etc.), et vous présentez votre ticket au caissier, bien caché derrière une vitre couverte d’images jusqu’à la taille environ. (Le mec à la caisse était tellement surpris d’entendre une voix féminine qu’il en est sorti de sa cabine…). Le caissier vous attribue une cabine numérotée, avec l’heure d’entrée et l’heure à laquelle vous devez sortir. On vous fournit aussi un petit panier de course, comme celui des supermarchés, pour mettre ses DVD (Je crois que je n’avais jamais vu autant de DVD pornos réunis en un seul lieu de toute ma vie !…). Il est aussi possible de louer des objets, mais je vous passe les détails sur ce dont il peut s’agir…

Je précise que les cabines sont aussi équipées d’une boîte de mouchoirs…

Je vous explique quand même ce que je faisais dans un endroit pareil. C’était à Mitaka, j’avais rendez-vous avec un ami, et comme une c***, je n’avais pas pris le carnet sur lequel j’avais noté le lieu de rendez-vous (« J’en ai pas besoin, je le laisse » pff, co**sse !) et je n’avais bien sûr pas pris son numéro ! Mitaka étant à près de ¾ d’heures de l’hôtel Aizuya, j’ai un peu tourné en rond partout, SAUF là où il fallait aller –faut le faire– et je me suis donc retrouvé à chercher un cyber en vitesse. Arrivée devant la devanture, en me doutant de ce que j’allais trouver quand même –l’indication « cabines privées » m’a mis la puce à l’oreille bizarrement…- je décide quand même d’entrer, non sans appréhension. Je peux vous dire que jamais je ne me suis sentie aussi mal à l’aise de toute ma vie !

Résultat : une heure de retard et plus une tune ! Le pire, c’est que j’étais à la gare de Mitaka un quart d’heure avant l’heure de RDV… En plus d’avoir honte, j’ai dû lui donner une sale image de moi…

Malgré ça, je garde un souvenir amusé de cette expérience –même si ça ne m’a pas amusée sur le coup–, mais ce n’est pas pour autant que je recommencerai !

À bientôt pour d’autres mésaventures !

—| Émy |—

Publié dans Tokyo

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K
OH MY GAAAAAAAAAAAAAD XDDD Alors là Emy, ya qu'à toi que ce genre de choses arrive >< (se souvient encore du tit mot dans le métro --')<br /> <br /> J'aurai pas deviné que c'était pour ça (j'avais compris les kanji "salaryman no mikata kintarô" etc, mais je ne me serais JAMAIS douté que c'était ça @_@ pauvre de toi xD
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